Il semble que Pauline
ait finalement décidé de répondre aux allégations parues il y a une semaine dans
The Gazette.
Disons qu'on accepte, tel que l'affirme Mme Marois, que l'affidavit ayant servi à convaincre la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ) de "dézoner" le terrain au tournant des années 1990 ait été en règle, c'est à dire que M. Turcotte, habitait bel et bien une journée sur deux dans le désormais fameux shack même si, selon ce qu'affirme le journaliste de la Gazette, il ne payait plus de loyer, qu'il n'était pas propriétaire du terrain et, plus encore, même s'il possédait, depuis 1975, une maison avec chauffage et électricité à deux minutes de marche dudit shack. Disons que l'on accepte aussi que le couple n'a pas payé M. Turcotte pour l'affidavit.
Je répète, disons que l'on accepte l'entièreté des explications de celle qui veut devenir Première ministre du Québec. Et bien, la question que je poserais à Madame Marois est la suivante:
Coudonc, comment se fait-il que votre chum Walsh (qui agissait comme intermédiaire pour le couple Blanchet/Marois selon les dires de Pauline) ait pu faire l'acquisition d'un gigantesque terrain (41.3 acres) - à l'ïle Bizard, sur le bord de l'eau, sur lequel il était clair que l'on pouvait construire - pour aussi peu que 65,823.38 $, c'est-à-dire pour moins de 0.04 $ (!!!) du pied carré [65823.38 $/1799028 pieds carrés]
?
***
Et pis tiens, parce que cette histoire me rappelle de vieux souvenirs, quelqu'un peut-il me dire ce qu'il est advenu de la
mise en demeure reçue il y a deux ans par
Le Québécois concernant certaines allégations autour des propriétés d'un autre ténor (pfft!) de la politique provinciale ?
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lâché lousse dans le cyberespace par Mr Pointu
@ 16:43